vendredi 15 novembre 2019

[REALM OF CHAOS] : nouvelle vague

L'automne et le mauvais temps sont une période propice à la peinture mais, fidèle à moi-même, je me suis encore plus dispersé dans les projets de peinture, ayant notamment attaqué la mise en couleurs de plusieurs bandes pour Warhammer Underworlds... J'ai tout de même réussi à apporter les dernières finitions à plusieurs modèles de mon armée RoC.

Pour commencer, le sixième guerrier de Khorne et sa hache démesurée. Un petit effort, plus que deux...



Afin de mettre un peu de variété dans mes troupes, je suis allé chercher quelques figurines dans la gamme Cthulhu de RAFM. Les deux ghasts et les deux goules feront des hommes-bêtes un peu originaux, quand à la bête lunaire, elle est prévue pour intégrer l'attelage d'un char qui n'en est qu'à la phase de réflexion...







Retour à du plus "classique" avec une vieille figurine citadel et une plus récente de la gamme Pantheon of chaos.



Enfin j'ai attaqué la peinture de mes démons de Nurgle. Je suis complètement fan des figurines de portepestes, quelles que soient les époques. Au risque de radoter, mixer ces différents modèles permet de mettre de la variété qui reste pour moi le mot d'ordre d'une armée du chaos. Tout comme les conversions, qui donnent de plus une touche vraiment personnelle à son armée.




Mon préféré ☺

jeudi 7 novembre 2019

[GEEK LVL 36] : Amstrad & Sorcery

Je suis né en 1972, et je me considère comme chanceux d'avoir pu vivre en tant qu'adolescent cette période si fantasmée des années 80, et assister à la naissance, au développement ou la popularisation d'un certain nombre de phénomènes qui composent ce que l'on appelle communément la culture geek, dont  les jeux vidéos.

Comme beaucoup de jeunes de cette époque, j'ai fait mes premiers pas sur le jeu Pong, sur une console Atari gagnée à la kermesse du village. Mais c'est dans les années 80 et avec l'arrivée sur le marché des amstrad cpc qu'une partie significative de mon temps libre et de celui de mes copains s'est retrouvée consacrée aux jeux vidéos ☺
Le premier modèle que nous avons eu entre les mains était un CPC 464 et son lecteur de cassettes intégré dans le clavier, avant de pouvoir faire un bond technologique quelques années plus tard avec le CPC 6128 et son lecteur de disquettes.


Je pense qu'il est difficile pour quelqu'un grandissant dans notre société actuelle de se représenter ce que voulait dire jouer à l'époque. Mettre la cassette dans le lecteur, lancer une commande en BASIC pour démarrer le jeu, puis patienter 10 minutes en écoutant son lecteur ronronner avant de pouvoir enfin voir apparaître l'écran d'accueil du jeu. L'aventure commençait d'ailleurs en fait bien avant, puisque dans ce monde pré-internet, il fallait déjà avoir entendu parler du jeu, que ce soit par le bouche à oreille ou par la presse spécialisée, avant de se le procurer, souvent par correspondance pour les provinciaux que nous étions, par l'envoi par courrier d'un chèque accompagné d'un bon de commande découpé dans un numéro de Tilt... ou par échange de k7/disquette avec les copains dans la cour du collège.

La liste des jeux ayant fait mon bonheur est longue comme le bras : Bombjack, Fruity Franck, Boulder Dash, Commando, Green Beret, Gryzor, Cauldron, Barbarian, etc. Mais mon plus beau souvenir de jeu est sans conteste SORCERY (et sa suite SORCERY +), dont la k7 trône encore aujourd'hui fièrement sur mes étagères.


L'histoire en elle-même ne brille pas par son originalité. On y incarne un magicien qui doit délivrer ses huit collègues enlevés par un vil nécromancien. Mais c'est les mécanismes du jeu qui en font tout le piment. 
L'environnement de jeu est composé d'une quarantaine de tableaux reliés par des portes, dans lesquels le mage se déplace en volant. Se souvenir de leur disposition sera le premier défi à relever. Sachant que notre mage à une tendance naturelle à perdre de l'altitude, franchir certains passages étroits au-dessus de l'eau (dans laquelle toute chute est mortelle) nécessite aussi un peu de dextérité...

Chaque tableau est peuplé d'ennemis de différentes sortes, depuis les sorciers maléfiques qui arpentent le sol aux fantômes volants et traversants les murs, en passant par de bizarres créatures en forme d'œil ou de tête de sanglier. Ceux-ci n'ont de cesse de se ruer (très vite !) sur vous pour sucer votre jauge de vie, et il faut faire preuve de réflexes et de dextérité pour les éviter, ou faire un usage judicieux des armes à disposition. Il en existe plusieurs (fléau, hache, épée ou sort) mais chaque type de monstre n'est sensible qu'à un type d'armes (à l'exception du sort qui affecte tout le monde), arme qui est de plus détruite lors de son utilisation...  




C'est d'ailleurs la gestion des objets qui représente le plus gros défi du jeu. Car outre les armes, il existe d'autres objets (bouclier, couronne, coupe de vin, fleur de lys, etc.) qui sont utilisés généralement pour débloquer un accès, y compris les cellules de nos collègues. Sachant qu'il faut souvent tester un accès pour déterminer quel type d'objet l'ouvre (même s'il existe des indices...), que l'on ne peut transporter qu'un seul objet (arme comprise) à la fois, et que l'on ne peut pas abandonner un objet sans l'échanger contre un autre, cela implique de nombreux allers et retours et une bonne mémoire afin de ne pas perdre trop de temps, car ais-je oublier de le préciser, le temps disponible pour accomplir la mission est limité... 

Adresse, réflexes, mémoire et un peu de stratégie seront donc nécessaires pour venir à bout de SORCERY. Elu "Tilt d'or" en 1985, il n'a pour moi pas pris une ride et si installer un émulateur ne vous fait pas peur, je ne saurais que vous conseiller de franchir le pas ☺

mercredi 16 octobre 2019

[REALM OF CHAOS] : ze boss

Avec mon ost du chaos qui peu à peu prend forme, il me fallait décider de qui aller incarner le champion qui en prendrait la tête. Mon coeur balançait entre la superbe figurine d'élu de Slaanesh sur sa monture serpentine et celle de champion du chaos monté avec son allure dans le pur style deathdealer de Frazetta. C'est finalement cette dernière qui l'a emporté, et ainsi est né Wolofdeth, enfant béni des Dieux Noirs.

Wolofdeth


Pour la petite histoire, j'avais tout de suite craqué pour cette figurine à sa sortie, mais elle a ensuite passé plusieurs années (5 ou 6 au bas mot) sur mon plan de travail sans que je me décide à me lancer dans sa peinture. Et pour le coup je suis assez satisfait du résultat ☺

J'avais au printemps participé à une campagne Kickstarter portant sur les sculptures de la talentueuse Ana Polanscak du blog Gardens of Hecate, et l'une des figurines obtenue m'a tout de suite inspirée. Peut-être est-ce le fait qu'elle n'ait pas de bras, mais je l'ai tout de suite imaginé comme une sorte de héraut cauchemardesque. Homme-bête, démon ? Nul ne connaît l'origine de cette créature et encore moins son nom, mais elle précède toujours l'avancée des troupes de Wolofdeth en bondissant, glapissant vers le ciel son sinistre cri : "Tekeli-li, Tekeli-li !"

Tekeli-li, Tekeli-li !

vendredi 4 octobre 2019

[SPACE HULK] : Dark Angel / Deathwing


Dès sa sortie en 1989, Space Hulk a suscité en moi une véritable fascination. D'un côté l'élite de l'Adeptus Astartes, équipée des armures tactiques dreadnought "Terminator" produits par la technologie de l'Imperium, de l'autre les genestealers, machines à tuer biologiques tout droit issues de l'oeuvre de HR GIGER, les deux camps s'affrontant au sein de gigantesques épaves de vaisseaux dérivant dans l'espace. Un plateau de jeu modulable, des règles simples et efficaces, bref un must et sans doute, avec Blood Bowl, la plus grosse réussite de Games Workshop. J'en possède deux éditions du jeu, le jeu de cartes, et tous les jeux vidéos (y compris la première édition de 1993 sur disquettes ☺).

Seul bémol de la gamme, si les figurines de la dernière édition sont magnifiques, elles sont par contre de mon point de vue peu pratiques en jeu, et en faire coexister plusieurs sur des cases adjacentes relève souvent du Tetris cauchemardesque. Les vieilles figurines de terminators sont à ce niveau beaucoup plus pratiques, que ce soit celles de la boîte de jeu ou les vieux modèles en métal d'échelle plus réduite que les modèles actuels, et je me suis fixé comme objectif de mettre en peinture celles que je possède. Commencement avec les figurines plastiques de la V1, qui seront peintes aux couleurs de la Deathwing du chapitre des Dark Angels.



Il me faudra par contre un peu de custom ou de fouilles côté ebay pour pouvoir utiliser toutes les combinaisons d'armes possibles actuellement car la boîte de base ne permettait que le bolter ou le lance-flamme, les autres armes/personnages ayant été introduits dans les extensions que je ne possède malheureusement pas (encore ☺).

vendredi 23 août 2019

[WAR40K] : Dark Angel

Les Darks Angels et leur look de moine-soldat sont l'un des chapitres Astartes que j'apprécie plus particulièrement, notamment depuis la lecture du roman Le retour des anges et la description des ordres de chevalerie de Caliban. J'avais donc profité de la sortie de la boîte Dark Vengeance pour commencer à peindre quelques figurines de ce chapitre. Cependant, une fois de plus, j'ai préféré me conformer aux marquages d'origine tels qu'ils sont décrits dans l'un des vieux "white dwarf compendium" plutôt que d'appliquer le marquage "moderne". Le symbole de chapitre est jaune, celui d'escouade blanc, et l'aigle pectoral ainsi que les bordures d'épaulières varient selon la compagnie.



Ci-dessous donc la première figurine qui m'a servie à tester le schéma de couleur.

Frère Ephrael de la 4ème compagnie

vendredi 16 août 2019

[ROGUE TRADER] : CHAOS RENEGADES

Si les Astartes sont les parangons de l'humanité, leurs frères qui du temps de l'Hérésie ont choisi de suivre Horus en sont l'exact opposé. Et si les gammes actuelles les désignent comme "space marine du chaos", ils était plus justement initialement appelés "chaos renegades", symboles de déchéance, abjects et méprisables pour avoir renié leurs serments et bafoué leurs voeux envers l'Humanité et l'Empereur.
Les sculpteurs Michael Perry et Kevin Adams ont réussi à produire une série à la fois homogène et variée de figurines magnifiques, parfaite représentation à mon sens de guerriers affectés par leurs séjours dans le warp et l'adoration des dieux sombres, dont la diversité est encore accentuée par les mises en couleurs présentées dans les articles EavyMetal.

  

Bien que je possède plusieurs de ces figurines, je ne m'étais jamais lancé dans leur mise en peinture, ayant toujours trouvé que mon niveau en peinture ne me permettait pas de rendre justice à ces modèles dont la sculpture et le moulage moins précis que les modèles plastiques actuels guident moins le pinceau (enfin c'est mon avis). Après un gros travail de décomplexation ☺, je me suis finalement lancé, et j'ai choisi de commencer par les World Eaters, étant toujours plus à l'aise avec le rouge que les teintes pastels chères à Slaanesh. Le style est volontairement très old school.



J'ai d'ores et déjà attaqué la peinture des modèles suivants, tout en me remettant à fouiller sur les sites d'enchères pour dénicher certains modèles qui m'ont toujours fait rêver sans avoir jamais pu mettre la main dessus, tels les 0024 slaanesh riders ou chaos renegade riders...

lundi 27 mai 2019

[REALM OF CHAOS] : ost de Khorne

Ma petite bande affiliée à Khorne reçoit de nouveaux renforts, dont un premier de poids en la personne de l'emblématique figurine de Slambo et sa pose aux deux haches si caractéristique. A noter que je l'avais tout d'bord peinte dans une version un peu plus colorée avec des verts et jaunes, que j'ai "corrigée" afin de mieux l'intégrer dans le schéma des autres guerriers présentés précédemment.

Kiss my axes !

Tout comme Slambo, cette figurine d'homme-bête m'avait fait forte impression lorsque j'étais adolescent, avec son air malveillant et ses cornes formant la rune du dieu du sang. Quelques décennies plus tard, c'est donc un vieux rêve que je réalise en l'intégrant dans ma bande.

Gnni in in ! (ricanement malveillant)

Pour l'accompagner, une autre figurine du Pantheon of chaos de Knightmare miniatures.


Il y a sur l'établi de quoi atteindre le chiffre sacré des huit guerriers et des huit hommes-bêtes, maintenant il n'y a plus qu'à...



jeudi 28 mars 2019

[GEEK LVL 36] : Jeremy Famir

Découvert via la couverture d'un jeu de rôles (Mantoid Universe pour ne pas le nommer), une simple visite sur la galerie DevianArt de l'artiste Jeremy Famir aura suffit pour un coup de foudre immédiat. Je n'aime pas forcément mettre des mots sur les émotions que me procure une oeuvre, qu'elle soit musicale, plastique ou autre, mais j'ai retrouvé là le même sentiment et la même fascination que chez d'autres artistes tels que HR Giger, Druillet ou Ian Miller. Mais c'est pour le coup aussi très réducteur de vouloir absolument ramener un artiste à une comparaison avec d'autres artistes plus connus, je ne peux donc que vous inviter à vous rendre sur sa galerie ici pour découvrir le fantastique univers si particulier de Jeremy Famir.

Quelques exemples ci-dessous pour le plaisir des yeux:

apocalyptic raider by Jeremyfamir

fear has big eyes by Jeremyfamir

Schisma by Jeremyfamir

mercredi 13 mars 2019

[WARHAMMER] : morts vivants


Les morts vivants font depuis très longtemps partie de mes créatures préférées et j'éprouve une vraie fascination pour ces choses que l'on préférerait voir (vraiment) mortes mais qui refusent de reposer en paix et viennent perturber le monde des vivants. Que ce soit aux travers des livres, films, jeux de rôles ou jeux vidéos (Ah les draugr de Skyrim !), être confronté à l'esthétique de ces créatures est toujours un plaisir (enfin un peu moins avec les zombies...). Mais paradoxalement, les morts vivants n'ont jusqu'à présent que très peu occupé mon plan de travail. Il aura fallu attendre que mon plus jeune fils s'intéresse de près à mes travaux de peintures et émette le souhait de peindre lui-même des squelettes pour que je me décide à lui emboîter le pas et que j'exhume (!) de mes cartons ce que j'avais commencé à rassembler en vue de monter une armée de trucs non vivants mais pas franchement morts non plus ☺

Première figurine à passer sous le pinceau, une nuée d'esprits. Une pièce avec un aspect un peu "kitsch", mais emblématique pour moi des armées de morts vivants que l'on pouvait découvrir dans les premiers White Dwarf. J'ai choisi un traitement monochrome afin de bien marquer le caractère éthéré de ces créatures. 

Viens sentir la froide étreinte de la mort !

Deuxième série de créatures avec les spectres des Cairns. Esprits d'hommes qui dans leur quête de puissance se sont laissés corrompre par l'usage de la magie noire, il m'a semblé plus naturel pour restituer la diversité de leurs origines d'utiliser pour constituer cette unité des figurines variées plutôt que celles en suaire armées d'une faux. Et puis c'était un bon moyen d'y inclure les figurines que j'adore de Barrow wight de la vieille gamme Citadel Lord of the rings ! Le traitement monochrome est là encore pour souligner la nature éthérée des spectres, le vert me permettant de faire la distinction subtile entre les esprits qui sont plutôt des victimes et n'ont pas recherché cet état, et les spectres foncièrement maléfiques. La troupe est menée par une banshee, dont la figurine s'intègre pour le coup très bien à cet ensemble hétéroclite.




De tous les morts vivants, mes préférés sont sans aucun doute les squelettes. Mon plus lointain souvenir à ce sujet (et quel souvenir !) est la mémorable séquence du combat dans le film Jason and the argonauts de 1963, animée de main de maître par mon idole Ray Harryhausen, et dont je ne peux résister au plaisir de la remettre ici.


Mes enfants dont depuis aussi devenu fan de cette séquence, et c'est probablement ce qui a motivé mon fils cadet pour se lancer dans peinture de figurines de squelettes. Ce qui avouons le tombe plutôt bien, puisqu'il s'agit d'un sujet beaucoup plus facile à aborder pour un petit bonhomme de 8 ans que des pistoliers à cheval de l'Empire par exemple ! Je lui ai de plus choisi des figurines à l'équipement réduit, ce qui donne ces deux premiers valeureux éléments de ce qui est destiné à devenir une horde (!), alimentée par ses réalisations aussi bien que les miennes.




jeudi 21 février 2019

[REALM OF CHAOS] : champions de Khorne

La moitié de mon objectif pour les champions de Khorne est atteinte avec la mise en peinture difficile d'un quatrième guerrier au milieu de séances de peinture de guerriers tyranides, de morts vivants et de marines de la peste. Sont aussi sur le plan de travail une troupe de sanguinaires, quelques chiens de Khorne, des hommes-bêtes et un buveur de sang... Qui a dit que j'avais tendance à me disperser ? 😀


jeudi 14 février 2019

[HATE] : les Chroniques de la Haine

Difficile lorsque l'on côtoie depuis si longtemps les univers de Games Workshop d'ignorer l'oeuvre d'Adrian Smith, auteur pour les différents jeux de la gamme Warhammer de magnifiques illustrations tant couleur que noir et blanc, et notamment l'emblématique représentation de l'affrontement entre Horus et l'Empereur. Adrian Smith pour moi, c'est aussi plus récemment un superbe travail conceptuel sur un univers cher à mon coeur, celui de Conan dans le cadre de la sortie du jeu de figurines éponyme chez Monolith. Inutile de dire qu'il n'a donc pas fallu attendre longtemps avant que le tome des Chroniques de la Haine ne se fasse une place dans les étagères de ma BDthèque...

Oeuvre ovni de 280 pages aux dialogues quasiment inexistants, HATE ne se laissera cependant pas apprécier par n'importe quel public. Il faudra savoir se laisser séduire par les magnifiques planches en noir et gris où chaque case est une oeuvre à part entière au service de l'ambiance de violence permanente de cet univers de fin du monde. Paysages désolés de cendre et de pénombre au sein duquel s'affrontent des tribus de guerriers aux atours barbares et à la musculature hypertrophiée, créatures mutantes, on est dans HATE pas très loin de la vision des affrontements entre tribus sur les terres nordiques du Vieux Monde bordant les royaumes du Chaos...


Tout simplement superbe

De manière bien compréhensible, le lancement d'une campagne de financement pour un jeu de figurines basé sur HATE a immédiatement trouvé en moi un écho favorable, d'autant que les auteurs annonçaient un respect fidèle de l'oeuvre et que les  premiers visuels disponibles étaient particulièrement alléchants. Un an plus tard après avoir participé au financement, le résultat débarque à la maison et autant dire que c'est plutôt impressionnant. Une boîte de base énorme, plus de cent trente figurines avec les tribus additionnelles et l'extension, pour un total de plus de treize kilos de matériel 😍

Mais où vais-je bien pouvoir ranger tout ça !

Les figurines de princes notamment, hautes de 6 à 8 cm, sont particulièrement impressionnantes (et que dire de l'énorme cavalier de l'extension The mother prophecy !) et semblent tout droit sorties de la BD. J'appréhende par contre quelque peu la phase de peinture compte tenu de la richesse des détails ainsi que de l'omniprésence de la peau et des visages avec lesquels je n'ai jamais été à l'aise. Grosse grosse réflexion donc à prévoir avant de se lancer, sans compter qu'avec ma vitesse de peinture, il me faudra bien un siècle avant de finir l'ensemble des figurines...


Comparaison de tailles. A l'arrière, un prince...


mardi 29 janvier 2019

[REALM OF CHAOS] : CHAMPIONS

Le voyage au coeur des Désolation du Chaos continue avec tout d'abord la présentation de deux nouveaux fidèles du dieu du sang. Le premier est issu de la gamme "PANTHEON OF CHAOS" de Knightmare miniatures, que je ne peux que conseiller à tous les nostalgiques des vieilles figurines citadel. Le second est une ancienne figurine dotée d'un bouclier au design très old school lui aussi issu de la gamme "PANTHEON OF CHAOS".



Des crânes pour le trône de crânes !

On reste dans la gamme "PANTHEON OF CHAOS" mais en changeant d'allégeance pour le culte de Slaanesh. Semblant tout droit sortie d'une illustration de Tony Ackland, l'allure plus fine de cette figurine, associée à une armure finement travaillée et un air particulièrement vicieux la prédestinait en effet sans hésitation au service du dieu du plaisir.





vendredi 25 janvier 2019

[WAR40K] : space wolves

Mon plus gros défaut en tant que peintre est sans doute cette fâcheuse tendance à papillonner d'un sujet à l'autre, et je ne compte plus les figurines "presque finies" qui squattent mon plan de travail ou les étagères alentours. Un gros gros effort m'a tout de même permit d'ajouter quatre nouveaux chasseurs gris à ma meute de Space Wolves, dont un porteur de plasma et un sergent (équipé d'un gantelet parce que j'adore les gantelets énergétiques !).

Sergent Styrbjorn

Volund - Gudleiv - Audkjell


Pour Russ et pour l'empereur !